On dit en Chine que le tai-chi est la mère des arts internes.
Parce qu’il possède en lui-même les trois forces réunies.
La force linéaire globale et les six harmonies du xingyi, la force spiralée du bagua et la force ondulatoire tai-chi…
Un petit exercice intéressant à travailler pour en prendre conscience et peut être le mettre en évidence puis sortir du cadre formel pour aller vers plus de liberté :
« la jeune fille lance la navette de jade » dans les quatre directions…
D’abord dans le sens de la forme, puis le sens opposé, avant de l’exécuter tout à fait librement dans les quatre directions dans n’importe quel sens.
Lentement, rapidement, en changeant les rythmes…
Mais attentif à respecter la structure, les principes, et le moteur du mouvement !
A force de toujours parler d’énergie, de jin, on en oublie de parler de mouvement, de placement et de déplacement, or, peut-on les séparer vraiment ?
De plus, il n’y a pas de combat sans déplacement, ce qui complique toujours ce qui était, statique, très évident.
La vie est mouvement et ce qui est développé dans l’immobilité doit se vérifier, doit être validé dans la mobilité et la spontanéité.
Amusez vous bien !
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