Les formes figent, sclérosent si elles ne sont pas suivies d’une mise en mouvement, d’une mise en libertés. Si elle ne deviennent pas notre nouveau langage, notre façon de nous exprimer.
Nous ne devrions pas être prisonniers des formes, les formes devraient être au service d’une transformation.
“Peng” n’est pas juste un mot de vocabulaire dans la langue du taichi…
On n’apprend pas l’anglais dans un dictionnaire, ou un livre de grammaire. Le dictionnaire peut nous être utile mais il y a un moment où il faut parler librement, ne pas hésiter à se tromper, vouloir rencontrer, échanger avec des gens.
Comme l’apprentissage des langues, celui du taichi nécessite un travail en liberté, nécessite des rencontres, des échanges… plus que cela, une réelle volonté de découvrir, d’aller au delà de son pré carré…
La partie de Taichi commence là où les formes s’arrêtent.
Comme disait le bouddha, une fois la rivière traversée, nul besoin de porter la barque sur sa tête.
Le moyen habile n’est qu’un moyen pour réaliser la vérité et accéder à la liberté…
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