Dans nos arts, nous parlons de relâchement (song)pour atteindre la souplesse(rou).
Mais de quelle détente, de quelle souplesse au juste, parle-t-on ?
Que serait une detente-souplesse du corps sans une détente-souplesse de l’esprit ?
Pourrait on séparer ce corps-esprit ?
Des lors qu’est-ce que cette détente -souplesse dont nous parlons ?
« L’image du gâteau n’assouvit pas la faim » disait Dogen…
Parler de détente et de souplesse, chanter avec méprise sa séduisante chansonnette ne nous transforme en rien….
Que devient cette belle souplesse à la première tension, à la première contrariété, à la première insulte, au premier rejet ?
La tendresse, cette douceur a t’elle pénétré notre cœur le plus secret ?
Est on comme disait Me Huang « une patate à demi cuite »?
Comment connaître notre véritable degré de cuisson ?
Évitant toute réelle confrontation, emmuré dans son « non », chacun est roi chez soi, chacun savoure son illusion….
Cela ne mérite-il pas d’approfondir cette question ?
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