Il y a souvent une méprise dans l’art du tai-chi lorsqu’on parle de douceur…
Doux s’écrit avec 1D et non pas avec 1M.
Il s’agit d’être doux et non pas d’être mou et pour connaître la douceur comme dans beaucoup d’autres arts, il faut avoir connu la force, la rugosité de la dureté.
La première étape consiste donc d’aller à la rencontre de la force, d’en éprouver la texture et la solidité… elle renforce la structure et oblige à l’alignement des segments…
Pour mieux aller vers la souplesse par le relâchement et atteindre la douceur.
Le monde sucré ne conduit qu’à des dents gâtées…
Si ce n’est pas amer au départ puis acide avant d’être sucré… à coup sûr c’est frelaté…
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