Dans le vrai classique du vide parfait au chapitre quatre, Lietseu nous parle de ce fou qui
« ne tenant pas compte de sa faiblesse, poursuivait l’image du soleil dans l’espoir de l’atteindre…
prit de soif dans sa course folle, il se rendit sur les bords du fleuve, mais cela ne lui suffisant pas, il courait vers le nord pour se désaltérer dans le grand Marais,
mais il mourut de soif avant de l’atteindre… »
Ami, prends soin de ta faiblesse…
à poursuivre des chimères, des fantasmes,
tu fais violence à tes dispositions foncières et dilapide ton trésor.
« Rien ne vaut celui qui, assis à sa place, fait retour au tao »…
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