Le Me Cheng disait que son Taichi reposait sur trois fondements : Le travail de la forme, celui de l’épée et celui du tuishou.
« Qui se plie restera entier, qui s’incline sera redressé, qui se tient creux sera rempli, qui subit l’usure se renouvellera… »
La « MISE EN TRAIN »… n’est pas suffisante : Ce qu’il faut, c’est arriver au bon endroit… en bon état …